Comment les marques d’huile de CBD peuvent-elles faire de la publicité sur les médias sociaux sans se faire fermer ?
Pourquoi est-il difficile de commercialiser du CBD sur les médias sociaux ?
Toute personne impliquée dans la commercialisation du CBD vous dira qu’il ne s’agit pas d’une formule facile à appliquer. Le moins que l’on puisse dire, c’est que la perception du CBD par les principaux réseaux sociaux est ambiguë.
Bien que le CBD soit devenu courant. Google, Facebook, Twitter, Pinterest et Instagram ont tous présenté des obstacles à la croissance.Des deux côtés de l’Atlantique, on espérait que l’industrie avait franchi un cap à la fin de l’année dernière. Lorsque la loi agricole américaine a été adoptée. En effet, l’agence d’intelligence du marché, CBD Intel. A signalé que les gummies au CBD étaient le troisième terme alimentaire le plus recherché sur Google en 2018.
Mais les contraintes ont persisté et le CBD continue de souffrir du fait qu’il est dérivé du cannabis, bien qu’il ne soit pas psychoactif.Les réseaux sociaux comme Facebook proclame, qu’il n’autorise pas la publicité de produits liés à la drogue. ce qui peut signifier que le CBD est interdit aux côtés des produits à base de cannabis.
Des messages contradictoires pour une confusion totale
Les differents réseaux sociaux :
Instagram, qui appartient à Facebook depuis 2012, applique les mêmes politiques publicitaires, à savoir qu’aucune publicité n’est autorisée pour les entreprises de cannabis. Dans le même temps, il y a beaucoup d’activité liée au CBD sur le site. Notamment des entreprises de CBD qui font de la publicité pour des influenceurs dans le but d’inciter leurs followers à acheter de l’huile de CBD.
Les politiques publicitaires de YouTube interdisent les promotions payées pour le cannabis mais autorisent le CBD, même si elles semblent parfois restreindre également le CBD.
LinkedIn est très strict à première vue. Car il a des politiques publicitaires qui stipulent que même si elles sont légales dans la juridiction applicable. LinkedIn n’autorise pas les publicités liées aux produits pharmaceutiques sur ordonnance, aux médicaments ou à tout produit ou service connexe. Y compris les médicaments et les traitements à base de plantes. Pourtant il est rempli de professionnels du CBD et même du cannabis.
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Amazon s’affirme comme une zone sans CBD. Pourtant il vend de nombreux produits à base d’huile de chanvre » qui ne sont essentiellement pas différents des produits infusés au CBD. Cela a été considéré comme problématique pour la réputation de l’industrie. Car les produits à base d’huile de chanvre sont vendus à des prix élevés dans des publicités parsemées d’allégations médicales non prouvées et trompeuses.
Quelles sont les alternatives aux gros canons des réseaux sociaux ?
Dans les centres commerciaux et les rues principales des États-Unis. Walmart, Costco, Target, Kroger et Whole Foods Market ne proposent aucun produit à base de CBD. En Grande-Bretagne, bien que les grandes surfaces comme Boots et Holland & Barrett vendent des produits à base de CBD. Il y a encore une certaine confusion quant à la promotion via les réseaux sociaux.Cela dit, il y a beaucoup de marques de CBD en France sur Instagram et même parmi certains influenceurs. Bien que d’autres se méfient de s’engager dans la promotion de tout ce qui est lié au cannabis au motif que cela pourrait attirer une attention indésirable.
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Google Adwords est une grosse contrainte, car l’entreprise interdit les mots-clés liés au CBD.
Pour ajouter à la difficulté, il existe une énorme confusion sur la différence entre les diverses catégories : pas seulement le cannabis et le CBD. Mais l’huile de chanvre et le CBD.Les spécialistes du marketing et les entreprises qui tentent de faire connaître leurs produits et services à base de CBD s’accordent sur la question du message.
Des problémes de Législation
« Nous évitons de parler de quoi que ce soit de trop spécifique sur ce que le produit [CBD] ferait ». A déclaré à CNBC Cary Smith de la North 6th Agency basée aux États-Unis. Les images de cigarettes et de plantes de cannabis doivent clairement être évitées. Il est conseillé aux détaillants de se renseigner sur leurs propres régions et territoires. Dans certains cas, des arguments ont été avancée sur Facebook pour que les pages soient réactivées.
L’affichage d’un maximum d’informations sur le produit sans faire d’allégations ou de suggestions est donc un moyen de contourner le problème. Parmi les autres moyens d’accroître la notoriété d’une marque. Les entreprises se tournent vers les événements, les parrainages et autres moyens d’entrer en contact avec leurs clients.
Enfin, si les réseaux sociaux normaux échouent, il existe une alternative. Les plateformes sociales favorables au cannabis et au CBD, telles que Mantis, Leafly, Traffic Roots, 420network, High Times, etc.
Conclusion
Les géants des réseaux sociaux se sont révélés être un défi difficile à relever pour les opérateurs du secteur du CBD. Afin de les aider à mieux faire connaître leurs produits et services. Une multitude de règles différentes et de positions contradictoires abondent. Mais il existe des moyens d’être en conformité et des alternatives.
Afficher autant d’informations que possible sur le produit. Sans faire d’allégations ou de suggestions, est un moyen de contourner le problème. D’autres moyens d’accroître la notoriété de la marque consistent à rechercher des événements. Des parrainages et d’autres moyens d’entrer en contact avec les clients. Enfin, les spécialistes du marketing peuvent utiliser des plateformes sociales favorables au CBD, telles que Mantis, Leafly, Traffic Roots, 420network et High Times.