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J’ai fumé de la marijuana et du Thc toute ma vie. Avec le temps, j’ai dû abandonner les souches sativa plus puissantes qui me faisaient perdre le contrôle de mon esprit. J’ai commencé à me concentrer sur des souches d’indica plus relaxantes et moins cérébrales.
Au début, tout allait bien, mais à long terme, j’ai eu le sentiment que cela faisait plus de mal que de bien. Si j’étais à la maison, détendue, sans penser à rien, sans soucis, je me sentais bien. Mais quand je devais faire une activitée, surtout sociale, c’était mauvais, très mauvais… Anxiété, paranoïa et malaise général.
Je voulais arrêter, je ne pouvais pas, j’aimais trop l’herbe et le Thc …
Tester le CBD
Un jour, j’ai essayé la marijuana CBD : le chanvre, qui est utilisé de manière industrielle pour fabriquer des tissus. C’était du chanvre, oui, mais il avait évolué.
La variété, appelée pistache, n’était pas mauvaise, j’ai été agréablement surprise, mais ce n’était pas de la marijuana à consommer, à laquelle j’étais habitué. Avec le temps, j’ai continué à en consommer, en essayant d’autres variétés. Certaines qui m’ont été offertes par des amies notamment acheté chez StrongCBD.fr, et sans m’en rendre compte, j’avais renoncé au THC.
Après quelques mois sans avoir essayé un joint, on m’a donné quelques grammes. Quand je suis rentré chez moi, j’ai roulé un joint et le premier sentiment a été : « Wow ! Quel plaisir !
C’était une variété 100 % sativa, si je me souviens bien, une Haze, et j’ai eu un sentiment formidable, jusqu’à ce que, quelque temps plus tard, la tachycardie commence, la paranoïa, cette sensation de froid qui me parcourt les os. J’ai eu l’impression d’avoir un trip ou, plus exactement, de faire une crise psychotique.
Ce fut une nuit longue et quelque peu angoissante. Je me suis souvenu du sentiment d’anxiété et d’étouffement que j’avais ressenti lorsque j’étais dépendant de la marijuana. J’ai compris que je vivais avec une partie de moi-même qui était totalement décalee, qui n’était plus moi.
Voir le THC d’une manière différente
Pour la première fois, j’ai compris que le THC n’était pas quelque chose à prendre à la légère. C’est une drogue très puissante, je m’en suis rendu compte maintenant, après l’avoir laissé pendant des mois et l’avoir goûté à nouveau.
Je suis une personne qui a consommé toutes sortes de stupéfiants. De drogues naturelles, d’enthéogènes, etc… . J’ai essayé mille types de cannabis, fumé, vaporisé, des brownies, des tisanes… . Je ne serai jamais contre, et je veux sa légalisation et sa dépénalisation. Parce qu’il m’a donné de grands enseignements et que c’est une plante merveilleuse.
Mais dans mon cas, le mien en particulier, ce n’est plus quelque chose que je peux faire au quotidien. Le CBD m’a aidé à me contrôler, à me détendre simplement physiquement, sans paranoïa. Avec le temps, j’ai appris à l’apprécier et je suis devenu un consommateur régulier d’huiles et de cristaux .
Si la loi française change un jour, et qu’elle autorise un pourcentage de THC légèrement plus élevé. Même s’il est de 1 % comme en Suisse par exemple, nous aurons sur nos terres plus de variétés de qualités. Sans effets psychotiques et aux qualités médicinales remarquables.
Le CBD nous apaise et résout nos problèmes d’anxiété et de dépression. Aujourd’hui, je fais partie des ces personnes reconnaissantes. Bien qu’au début j’étais sceptiques.
Il ne s’agit pas de publicité, ou de quoi que ce soit de ce genre. Certes, ce n’est pas pour tout le monde, c’est très personnel, mais dans mon cas, ça a marché.
Cédric F. 38ans.
Strong CBD
